Le replay de la semaine du 7 au 13 mars 2022
St Graal "Perdu" avec succès sur le chemin du bonheur
St Graal, de son vrai nom Léo Meynard, est un jeune artiste bordelais de 24 ans. Cet Auteur-compositeur-interprète s’est fait vite repérer par le distributeur Spinnup qui participe à sa session live en novembre 2017. Il va ensuite faire vibrer les salles bordelaises, comme l’Iboat ou Darwin et prendra part au festival Bordeaux Rock en 2018.
St Graal joue de la guitare et aime mélanger chanson française et musique électronique. Il met en scène des productions rythmées et des textes poétiques sublimés par sa voix envoûtante. Il a réalisé un premier EP Pulsions dans lequel chaque chanson est un cheminement de l’amour. Ce grand romantique tente d'exprimer des problèmes sociétaux que ses musiques et ses textes transcendent comme de réels hymnes à la vie et à la mélancolie.
En février, St Graal a sorti un nouveau clip, Perdu, sur lequel il a invité l’artiste pop marseillais Ajar pour créer un morceau ultra entrainant, dansant et charmant. Un titre sur lequel les deux artistes chantent l’histoire de deux personnages faisant face à leur réalité et à leurs désillusions. Un clip qui parle de tous ces moments où l’on se surestime et où l’on se sent spécial. Mais plus le sentiment d’invincibilité est présent, et plus dure est la chute, et plus la réalité des choses est frustrante et décevante.
Sur de fines sonorités électro-rap très actuelles, l'artiste bordelais raconte ainsi avec son pote marseillais, son épopée solitaire et son sentiment d’être perdu dans la ville. "St Graal, c’est une quête. Le musicien souhaite que chaque EP ait sa propre histoire, nourrie de sa propre réflexion, de sa propre recherche, de son propre parcours. Un peu comme la quête du Saint Graal" précise notre déléguée musicale, Muriel Chedotal.
St Graal s’inscrit désormais dans la nouvelle vague de la chanson française et fait le buzz avec ses vidéos qui comptent des millions de vues sur les réseaux sociaux. Il vient d’être sélectionné pour les Inouïs du Printemps de Bourges, cette année. Son avenir est tout trouvé, puisqu’il nous fait déjà danser, n’est-ce-pas ?